Je sens une petite fièvre.
Un peu de chaleur sur mon front.
J’écris un poème.
Je fourre un Ferrero rocher dans ma bouche.
D’un seul coup. Je croque la coquille et le Nutella me renvoie à mon enfance.
Je ferme les yeux une seconde.
Les ouvre plein d’étincelles.
Et je recommence.